Pendant mes premières années d’école à Lorry, nous étions une quarantaine, voire plus, du cours préparatoire au fin d’études 2. Mon grand plaisir, c’était de terminer vite l’exercice que j’avais à faire pour pouvoir écouter ce que le maître disait aux plus grands, les cours moyens, les fins d’études. Et comme il aimait bien l’histoire, Lire plus …
Je me souviens que peu d’entre nous avaient suffisamment de talents de comédiens pour pouvoir déclamer un poème. Aussi, souvent, on récitait vite le texte de peur d’en oublier un morceau, en se dandinant parce qu’on était gêné d’être tout seul devant la classe. Anne-Marie, Lorry, 1961-1966
Je me souviens que le dernier jour de classe, chaque année, nous venions à l’école chacun avec une paille de fer, un chiffon et de la cire, et que nous essayions de laisser notre banc comme neuf !!! Anne-Marie, Lorry, années 1961-1966
Je me souviens que la moitié de la cour côté rue était réservée au jeu de la balle au camp, l’arbre servant de repère pour séparer les deux camps. Je me souviens que, en classe unique, rentrer dans l’une des deux équipes était le signe qu’on était devenu un « grand ». Je me souviens aussi que chacun Lire plus …
Cette année-là, M. Pelourdeau nous a quittés très vite pour devenir professeur en collège. Alors a commencé une période curieuse à l’école de Lorry : nous avons vu défiler plusieurs très jeunes maîtres et maîtresses, avec un accent du Midi très difficile à comprendre pour nous.