La vie des réfugiés continue dans leurs villes d’accueil

Depuis leur départ de Lorry-Mardigny, expulsés par l’occupant allemand en août ou novembre 1940, les réfugiés tentent de reprendre une vie normale dans leurs villes ou villages d’accueil et cette vie normale comprend mariages et naissances. L’Echo des réfugiés, 20/02/1942   in gallica.bnf.fr/BnF  

Surnoms patois des habitants de nos villages

Le gentilé Loreymardénien est une création assez récente. Auparavant on disait « les Lorry » ou « les Mardigny ». Les surnoms patois eux avaient été oubliés comme le patois lui-même : – Lorry : lés keure-teupîn (récure-pot) – Mardigny : lés drahés (morceau de pain sans croûte) Voici un article du Lorrain du 18/08/1934 reprenant un extrait du Lire plus …