1. – J’aimais monter à la corde. Elle était fixée à une branche du noyer majestueux qui se trouvait au centre de la cour de l’école.
2. – Je me souviens aussi que le maître avait un bâton et bastonnait sur les fesses les garçons (moins sages que les filles).
Il y en avait un pour qui c’était souvent le tour. Un jour il s’est bien garni les fesses de carton, ce qui nous a bien amusé.
3. – Certains jours il y avait des élèves qui ne voulaient pas participer aux leçons de catéchisme du curé, alors il se cachaient dans le grand placard qui se trouvait à notre droite. Lorsque la supercherie était découverte, ils avaient droit à une bonne punition.
Marie-Thérèse, Lorry, 1945-juillet 1951