La vie des réfugiés continue dans leurs villes d’accueil

Depuis leur départ de Lorry-Mardigny, expulsés par l’occupant allemand en août ou novembre 1940, les réfugiés tentent de reprendre une vie normale dans leurs villes ou villages d’accueil et cette vie normale comprend mariages et naissances. L’Echo des réfugiés, 20/02/1942   in gallica.bnf.fr/BnF  

Surnoms patois des habitants de nos villages

Le gentilé Loreymardénien est une création assez récente. Auparavant on disait « les Lorry » ou « les Mardigny ». Les surnoms patois eux avaient été oubliés comme le patois lui-même : – Lorry : lés keure-teupîn (récure-pot) – Mardigny : lés drahés (morceau de pain sans croûte) Voici un article du Lorrain du 18/08/1934 reprenant un extrait du Lire plus …

De la « drôle de guerre » à l’expulsion

Dix mois qui bouleversèrent la vie des Loreymardéniens En septembre 1939, Lorry-Mardigny s’est vidé de sa population masculine mobilisée mais accueille tout au long de ces mois de « drôle de guerre » de nombreux soldats en cantonnement. Durant cet hiver pluvieux qui couvre de boue les rues et routes, mouvements de troupes, engins motorisés et chevaux Lire plus …

Lorry-Mardigny entre deux guerres

D’une guerre à l’autre, d’une annexion à l’autre Le 11 novembre 1918 marque, pour Lorry-Mardigny comme pour toute l’Alsace-Moselle, la fin d’un demi-siècle d’annexion au Deuxième Reich allemand. Le retour à la France est un moment attendu mais plein de paradoxes. À Lorry-Mardigny, on a continué à parler le français ou le patois roman, mais Lire plus …